Il était une fois un village ou les habitants n’aimaient pas les étrangers. C’était un temps difficile, une période de famine. Des soldats en armures détruisaient les récoltes pour chasser … Le représentant du seigneur venait réclamer l’impôt sous forme d’argent, de blé, de pain, ou de tout autre bien. Et les catastrophes naturelles, le gel, les inondations faisaient des ravages. Comme il n’y avait pas grand-chose à manger dans le village, chacun surveillait son voisin, le jalousait dès qu’il avait le sentiment qu’il avait juste un peu plus ! La méfiance régnait entre les villageois. Alors chacun cachait ses biens, de peur qu’on vienne les lui prendre.

Un jour un étranger arrive dans ce village dont les habitants sont si malheureux. Les villageois se demandent qui est ce personnage, qui n’a pas l’air d’un paysan, ni un soldat, ni un noble, ni un moine…peut être un vagabond ou un camelot itinérant ? Il ne porte sur lui qu’un petit sac. A son passage les regards se détournent et on claque la porte. L’étranger va s’assoir près du puits et ne bouge plus. Voyant cela le chef du village lui dit : « Mon gars, y’ a rien pour toi ici, passe ton chemin »

« Je suis fatigué » répond l’étranger, « il n’y aurait pas une grange où je pourrais dormir ? » « y’ a rien pour toi ici mon gars, passe ton chemin, il ne nous reste rien à manger » dit le chef de village. « Mais il n’y a aucun problème, car c’est moi qui vais vous nourrir, toi et tout le village s’il veut venir »

Le chef de village regarde l’étranger et son sac, assez gros pour contenir quelques pommes. « Comment comptes tu nourrir le village avec tes quelques pommes ? » L’étranger ouvre son sac pour montrer qu’il ne contient que trois cailloux bien polis, du genre de ceux qu’on trouve dans le lit des rivières. « Regarde les dit l’étranger, ils sont beaux n’est-ce pas ? Et ils sont magiques, comme tu le verras tout à l’heure. Je n’ai besoin que d’une grande marmite pleine d’eau et d’un petit feu pour faire chauffer l’eau ».

Le chef est fort méfiant mais il se dit qu’après tout il n’y a rien à perdre. Alors il demande aux villageois qui voudraient amener une grande marmite. Une vieille dame qui n’a rien perdu de la conversation tend alors une marmite, le fils du forgeron tire plusieurs sauts d’eau du puits pour la remplir pendant que son père allume un feu. Tout le village est là, par curiosité, pour se moquer, ou par espoir.

« Il me faudrait aussi une louche » dit l’étranger et une main lui tend rapidement une grande louche en bois. Il jette alors les trois galets dans la marmite, touille un peu, et goûte. « Voilà une très bonne soupe de galets…nous allons nous régaler ».

« Elle est bonne ? » demande le chef tout surpris. « Excellente…quoi qu’avec quelques herbes aromatiques, elle serait encore meilleure ». Aussitôt la femme d’un paysan, dit « j’en ai chez moi » Et elle en ramène quelques bouquets garnis.

« Ah voilà, qui est parfait » dit l’étranger en goûtant à nouveau la soupe comme on le ferait d’un bon vin. « C’est ça, il faudrait un arrière fond de pomme de terre, et cette soupe serait un régal ». « Il me reste quelques vieilles pommes de terre » dit un autre paysan » je vous les ramène ». L’étranger goûte de nouveau la soupe et dit « ça lui donne un très bon goût, vous allez aimer ! ».

Puis il dit « j’ai fait cette soupe de cailloux pour un seigneur et il avait fait ajouter d’autres légumes, des navets, des carottes, un peu de blé, il a aussi ajouté un morceau de lapin ». Les villageois se regardent. Le chef dit « nous pourrions manger comme des seigneurs ». Quelques navets apparaissent, puis des carottes, un sac de blé, puis un demi lapin apporté par le chasseur du village.

L’étranger goûte alors la soupe dont la bonne odeur embaume l’air et quand il fait « mmhmhm… », tout le monde le croit. « Je crois que si nous avions un peu de sel et un peu de poivre nous pourrions la déguster dès à présent ! ». Une petite fille lui tend alors les condiments. « De la part de mes parents monsieur ! » Cette nuit-là, tout le monde mange à sa faim.  Il y a des rires, il y a des chants, il y a de la danse. Et au petit matin quand l’étranger reprend la route de l’ouest tout le village dort encore

Les oies migratoires parcourent des distances considérables, parfois plus de 5000 kilomètres. Les spécialistes des oiseaux se sont longtemps interrogés sur les raisons qui amenaient des oies à voler en formation en adoptant une forme géométrique en V. Les réponses sont riches d’enseignements sur les principes de fonctionnement de l’intelligence collective. La coopération :  en battant des ailes, chaque oie génère un courant ascendant pour celles qui suivent. En volant en formation en V, les oies augmentent d’au moins 70% sa durée de vol par rapport à un oiseau qui volerait seul. Une oie qui sortirait de la formation pour voler seule serait vite fatiguée du fait de la résistance de l’air, et reprendrait sa place dans la formation. Les personnes qui partagent un esprit d’équipe se déplacent plus vite et vont plus loin en s’appuyant sur leur poussée mutuelle.

Un leadership partagé :  quand l’oie qui est en tête est fatiguée, elle se place à l’arrière de la formation et une autre prend sa place à l’avant. Les oies effectuent une rotation dans les postes qui demandent beaucoup d’énergie. Celles qui sont derrière poussent des cris pour encourager celles qui sont devant à maintenir leur vitesse. Dans la mesure où chaque oie connaît la direction que le vol doit suivre, chaque oie est en mesure d’assurer le leadership. Dans une équipe performante ou chacun connaît et partage une vision ou une direction, le leadership peut être partagé. Et, chacun peut encourager ses collègues à se dépasser.

Le soutien mutuel et la coopération : si une oie est malade ou blessée et qu’elle s’écarte de la formation, une ou deux autres oies la suivent pour lui apporter aide et protection, jusqu’à ce qu’elle soit de nouveau capable de rejoindre une autre formation ou qu’elle meure… Dans les équipes performantes l’entraide est également une règle.

Un jour, un vieux professeur de l’ENA fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d’une quinzaine de dirigeants de grosses entreprises. Ce cours constituait un des 5 ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n’avait donc qu’une heure pour faire passer sa matière.

Debout devant ce groupe d’élite (prêt à noter tout ce que l’expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : « nous allons réaliser une expérience ».

De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux professeur sortit un immense pot de plus de 4 litres qu’il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement un par un dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu’au bord et qu’il fut impossible d’y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : « est-ce que ce pot est plein ? »

Tous répondirent : « oui. »

Il attendit quelques secondes et ajouta : « vraiment ?»

Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s’infiltrèrent entre les cailloux jusqu’au fond du pot.

Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et demanda : « est-ce que ce pot est plein ?» Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège.

L’un deux répondit : « probablement pas !»

« Bien ! » répondit le vieux professeur.

Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit du sable de sous la table. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : « est-ce que ce pot est plein ?»

Cette fois sans hésiter et en cœur, les brillants élèves répondirent : « non ! »

« Bien ! » répondit le professeur.

Et comme s’y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d’eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu’à ras bord.

Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda : « Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?»

Pas fou, le plus audacieux de ses élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : « cela démontre que même lorsqu’on croit que notre agenda est complétement rempli, si l’on veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire. »

« Non », répondit le vieux prof, « ce n’est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans ce pot, on ne pourra jamais les faire entrer, tous ensuite ».

Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l’évidence de ces propos.

Le vieux prof leur dit alors : « Quels sont les gros cailloux de votre vie ? Votre santé ? Votre famille ? Vos amis ? Réaliser vos rêves ? Faire ce que vous aimez ? Apprendre ? Défendre une cause ? Vous relaxer ? Prendre le temps ? Ou toute autre chose ? Ce qu’il faut retenir, c’est l’importance de mettre ses gros cailloux en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n’aura plus de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie. »

Alors n’oubliez pas de vous poser à vous-même la question : quels sont les gros cailloux dans ma vie ? Ensuite mettez-les en premier dans votre pot.

D’un geste amical, le vieux prof salua son auditoire et lentement quitta la salle.

Nous avons tous un trésor à l’intérieur de nous… Une perle, une pépite d’or… Et notre trésor le plus secret, à cultiver jalousement c’est notre Estime de nous-même*.

Une vieille légende hindoue raconte qu’il y eût un temps où tous les hommes étaient des dieux. Mais ils abusèrent tellement de leur divinité que Brahma décida de leur ôter le pouvoir divin et de le cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver. Le grand problème fut donc de lui trouver une cachette. Lorsque les dieux furent convoqués à un conseil pour résoudre ce problème, ils proposèrent ceci: « Enterrons la divinité de l’homme dans la terre. » Mais Brahma répondit: « Non, cela ne suffit pas, car l’homme creusera et la trouvera. »Alors les dieux dirent: « Dans ce cas, jetons la divinité dans le plus profond des océans. »Mais Brahma répondit à nouveau: « Non, car tôt ou tard, l’homme explorera les profondeurs de tous les océans, et il est certain qu’un jour, il la trouvera et la remontera à la surface. »Déconcertés, les dieux proposèrent: « Il ne reste plus que le ciel, oui, cachons la divinité de l’homme sur la Lune. »Mais, Brahma répondit encore: « Non, un jour, l’homme parcourra le ciel, ira sur la Lune et la trouvera. »Les dieux conclurent: « Nous ne savons pas où la cacher car il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d’endroit que l’homme ne puisse atteindre un jour. »Alors Brahma dit: « Voici ce que nous ferons de la divinité de l’homme: nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c’est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher. »Depuis ce temps-là, conclut la légende, l’homme a fait le tour de la terre, il a exploré, escaladé, plongé et creusé, exploré la lune et le ciel à la recherche de quelque chose qui se trouve en lui.

* Formation: « L’estime de Soi, clé de la réussite individuelle et collective » avec les outils de l’Élément Humain. https://rkm.fr/Prochaine session, du 30 mai au 2 juin 2017. Inscription: contact@rkm.fr

Dans le processus de l’Elément Humain* le concept de choix tient une place importante.

Qui pilote mon avion personnel? Est-ce moi? La vie? Mon mari? Mes enfants? Mes collègues? Mon éducation? Ma religion???? La liste est longue et la réponse appartient bien évidemment à chacun d’entre nous.

Dans cette droite ligne du choix, je vous invite à déguster ce très beau texte d’Eckart Tollé et à choisir ce qui vous inspire dans tout ce qui suit.

 

« Je choisis de vivre tous les jours la grâce et la bénédiction divine même si je ne sais pas comment.

Je choisis de rester fidèle au Divin même si je ne sais pas comment

Je choisis d’avoir un travail épanouissant, bien rémunéré et de le garder même si je ne sais pas comment.

Je choisis d’avoir un(e) époux (se) qui puisse me comprendre même si je ne sais pas comment.

Je choisis que la bénédiction Divine soit sur moi et sur ma famille même si je ne sais pas comment.

Je choisis d’avoir assez de ressources pour couvrir mes ambitions même si je ne sais pas comment. Je choisis d’avoir une santé de fer et un corps épanoui même si je ne sais pas comment.

Je choisis que les circonstances me soient toujours favorables même si je ne sais pas comment.

Je choisis de vivre la Magie au quotidien dans ma vie même si je ne sais pas comment.

Je choisis la paix pour le Monde même si je ne sais pas comment.

Je choisis pour ma famille et mon entourage, la paix, la prospérité et une longue vie même si je ne sais pas comment.

Je choisis que le Divin m’accorde ce vœu même si je ne sais pas comment.

Si la seule prière que vous dites dans votre vie c’est MERCI, cela suffit. »

 

Nous avons tous un trésor à l’intérieur de nous… Une perle, une pépite d’or… Et notre trésor le plus secret, à cultiver jalousement c’est notre Estime de nous-même*.

Une vieille légende hindoue raconte qu’il y eût un temps où tous les hommes étaient des dieux. Mais ils abusèrent tellement de leur divinité que Brahma décida de leur ôter le pouvoir divin et de le cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver. Le grand problème fut donc de lui trouver une cachette. Lorsque les dieux furent convoqués à un conseil pour résoudre ce problème, ils proposèrent ceci: « Enterrons la divinité de l’homme dans la terre. » Mais Brahma répondit: « Non, cela ne suffit pas, car l’homme creusera et la trouvera. »Alors les dieux dirent: « Dans ce cas, jetons la divinité dans le plus profond des océans. »Mais Brahma répondit à nouveau: « Non, car tôt ou tard, l’homme explorera les profondeurs de tous les océans, et il est certain qu’un jour, il la trouvera et la remontera à la surface. »Déconcertés, les dieux proposèrent: « Il ne reste plus que le ciel, oui, cachons la divinité de l’homme sur la Lune. »Mais, Brahma répondit encore: « Non, un jour, l’homme parcourra le ciel, ira sur la Lune et la trouvera. »Les dieux conclurent: « Nous ne savons pas où la cacher car il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d’endroit que l’homme ne puisse atteindre un jour. »Alors Brahma dit: « Voici ce que nous ferons de la divinité de l’homme: nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c’est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher. »Depuis ce temps-là, conclut la légende, l’homme a fait le tour de la terre, il a exploré, escaladé, plongé et creusé, exploré la lune et le ciel à la recherche de quelque chose qui se trouve en lui.

* Formation:  « L’estime de Soi, clé de la réussite individuelle et collective » avec les outils de l’Elément Humain. https://rkm.fr/Prochaine session, du 28 février au 3 mars 2017. Inscription: contact@rkm.fr

Le jour où je me suis aimé(e) pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me détendre. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle « estime de soi« .

Le jour où je me suis aimé(e) pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’était rien d’autre qu’un signal quand je vais contre mes convictions. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle « authenticité« .

Le jour où je me suis aimé(e) pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive, contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle « maturité« .

Le jour où je me suis aimé(e) pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sont prêts et que ce n’est pas le moment. Aujourd’hui, ça s’appelle « le respect« .

Le jour où je me suis aimé(e) pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de ce qui ne m’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début ma raison appelait ça de l’égoïsme, aujourd’hui, je sais que ça s’appelle « amour de soi« .

Le jour où je me suis aimé(e) pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans; j’ai abandonné les « méga-projets »du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle « simplicité« .

Le jour où je me suis aimé(e) pour de vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé(e). Aujourd’hui, j’ai découvert « l’humilité« .

Le jour où je me suis aimé(e) pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois et ça s’appelle « plénitude« .

Le jour où je me suis aimé(e) pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvais me décevoir mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient un allié très précieux.

Tout ceci est… Savoir Vivre… Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter…
Du chaos naissent les étoiles…

Un jour, l’âne d’un fermier est tombé dans un puits. L’animal gémissait pitoyablement pendant des heures, le fermier se demandait quoi faire.

Finalement, il a décidé que l’animal était vieux et le puits devait  disparaître de toute façon, ce n’était pas rentable pour lui de récupérer l’âne. Il a invité tous ses voisins à venir et à l’aider.

Ils ont tous saisi une pelle et ont commencéà enterrer l’âne dans le puits.

Au début, l’âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement. Puis à la stupéfaction de chacun, il s’est tu. Quelques pelletées plus tard le fermier a regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu’il a vu. Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l’âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos

et montait dessus. Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l’animal, il se secouait et montait dessus.

Bientôt, chacun a été stupéfié que l’âne soit hors du puits et se mit à trotter.

 

La vie va essayer de t’engloutir de toutes sortes d’ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.

Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser. Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n’arrêtant jamais.

Il ne faut jamais abandonner      

Secoue-toi et fonce!

 

Rappelle-toi, les cinq règles simples ! À ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres.

   

  • Libère ton coeur de la haine. 
  • Libère ton esprit des inquiétudes. 
  •  Vis simplement.
  •   Donne plus. 
  • Attends moins.

Il y a quelques jours dans une ville en France, une affiche avec une jeune fille spectaculaire, sur la vitrine d’un gymnase, demandait: « cet été, veux-tu être sirène ou baleine? »

Il apparaît qu’une femme d’âge moyen, dont les caractéristiques physiques ne sont pas connues, a répondu à la question publicitaire en ces termes.

Chers messieurs,

Les baleines sont toujours entourées d’amis (dauphins, lions marins, humains curieux).

Elles ont une vie sexuelle très active, elles ont des baleineaux très calins, qu’elles allaitent tendrement.

Elles s’amusent comme des folles avec les dauphins et s’empifrent de crevettes grises. Elles jouent et nagent en sillonnant les mers, en découvrant des lieux aussi admirables que la Patagonie, la mer de Barens ou les récifs de corail de Polynésie. Les baleines chantent très bien et enregistrent même des CD. Elles sont impressionnantes et n’ont d’autres prédateurs que l’homme. Elles sont aimées, défendues et admirées par presquer tout le monde.

Les sirènes n’existent pas: Et si elles existaient, elles feraient la queue dans les consultations des psychanalistes parcequ’elles auraient un grave problème de personnalité: « femmes ou poissons? ». Elles n’ont pas de vie sexuelle parcequ’elles tuent les hommes qui s’approchent d’elles. Ils feraient comment d’ailleurs? Donc elles n’ont pas non plus d’enfants. Elles sont jolies, c’est vrai, mais isolées et tristes. En outre, qui voudrait s’approcher d’une fille qui sent le poisson? Moi c’est clair, je veux être une baleine!

PS: A cette époque où les médias nous mettent dans la tête l’idée que seulement celles qui sont minces sont belles, je préfère profiter d’une glace avec mes enfants, d’un bon dîner avec un homme qui me fait vibrer, d’un café avec des gateaux avec mes amis.

Avec le temps nous gagnons du poids parce qu’en accumulant tant d’informations dans la tête, quand il n’y a plus d’autre emplacement, il se redistribue dans le reste du corps, donc nous ne sommes pas grosses, nous sommes extrêmement cultivées.